Se concentrer sur le client, identifier ses besoins et l’aider à résoudre ses problèmes ont toujours été des éléments-clés dans l’ADN de Lucanet. C'est pourquoi, dès le début de l’aventure, nous avons proposé un produit conçu par des experts financiers pour des financiers d’entreprise. Cette orientation client, nous la renouvelons constamment car les besoins des financers d'entreprise aujourd'hui ne sont probablement pas ceux de demain. Une prise de conscience importante pour nous, mais aussi pour nos clients et partenaires.
Pour comprendre nos clients et leurs défis actuels, nous avons invité lors du Lucanet.Partner Day deux experts : Rene Griemens, directeur financier de Volocopter GmbH et Sebastian Hartmann, Chief Technology Strategist de KPMG. Tous deux ont échangé avec nous sur le rôle du DAF (directeur administratif et financier) moderne et ont répondu, entre autres, aux questions suivantes:
- Que doit apporter un bon DAF ?
- Comment le rôle du DAF a-t-il évolué au cours des 20 dernières années ?
- Quels changements peut-on attendre à l'avenir ?
- Qu'est-ce que cela signifie pour les cabinets de conseil ou les sociétés de services qui travaillent avec les DAF ?
- Et quel rôle jouent les logiciels SaaS dans ce contexte ?
Quelle est la clé du succès du DAF moderne ?
Dès le début de la conférence, nous avons demandé à Rene Griemens de Volocopter quels étaient les facteurs de réussite des directeurs financiers. Il les a résumés ainsi, en se basant sur sa propre expérience personnelle :
1. Les DAF ont le droit de faire des erreurs. Mais ils doivent en tirer des leçons
Les erreurs, ça arrive et ce n'est pas si grave. Les responsables des départements financiers n'ont pas pour objectif principal d'éviter les erreurs et les mauvaises décisions. Mais ils ne peuvent par contre pas faire deux fois la même erreur !
2. Les DAF ne sont pas des experts dans tous les domaines mais ils les rassemblent autour d'eux
Le rôle actuel des directeurs financiers n'est pas d'être des experts. Cependant, ils doivent s'entourer de professionnels compétences, et si possible des meilleurs. Leur équipe, les contrôleurs de gestion ou même les comptables, font le travail de spécialistes à leur place.
3. Les DAF modernes s'appuient sur la bonne technologie à un stade précoce
Au lieu de s'en remettre à des outils comptables peu coûteux, les DAF d’entreprises de taille intermédiaire ou en croissance devraient passer rapidement aux bonnes technologies ERP, pour automatiser le système de paiement ou le système de consolidation, par exemple. Si, au contraire, ils font des économies sur ce sujet à un stade précoce, un changement tardif de technologie peut s’avérer nettement plus coûteux et douloureux pour leur entreprise.